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  • The Dodoz - Forever I Can Purr

    the-dodoz-forever-i-can-purr.jpgLe voici dans les bacs le deuxième album des quatre z’oiseaux toulousains au plumage et au ramage rock. Forever I Can Purr parait un peu moins de trois ans après son excellent prédécesseur. Désormais sous licence chez Columbia, et toujours produits par Peter Murray, les Dodoz nous offre un second opus dans la lignée du premier, c'est-à-dire qu’il est tout aussi bon.

    Un son toujours bien rock, quoique moins brut qu’il y a trois ans. Bien que la plupart des compositions n’obéissent pas à la structure couplet-refrain-couplet (une caractéristique du groupe) plusieurs s’en rapprochent désormais et sonnent plus pop rock, comme le guilleret Dum Dum ou Happy Soldier et West Coast, ces deux derniers apparaissaient déjà sur l’EP sorti il y a un an.

    La principale réussite de ce disque est l’accent mis sur les voix, les chœurs masculins en particulier, du beau travail dans ce domaine, notamment sur Death in the Pocket of His Coat, Happy Soldier ou Black Emperor.
    Avec une rythmique plus lourde, Warm me up clôt l’album en beauté, sans pour autant donner dans le heavy metal, loin de là, et prouve la capacité du groupe à explorer d’autres voies du rock.
    C’est une autre des réussites de ce disque, il ouvre vers de nouveaux horizons rock, sans perdre la cohésion et l’énergie qui faisaient la force du premier album.
    Pas de doute, il faudra compter avec The Dodoz dans le rock made in France. Et pour mieux se convaincre du potentiel du quatuor, rien de mieux que de le voir sur scène !

  • The Dodoz - Happy Soldier

    the-dodoz-happy-soldier-ep.pngNouvel EP pour les toulousains pop rock de The Dodoz, en attendant le second album dont la sortie a été repoussée à septembre.

    Ce maxi, uniquement disponible en téléchargement (c'est dommage) augure du meilleur. Quatre morceaux dont la structure n'obeit toujours pas au format couplet-refrain classique (une des caractéristiques du groupe) avec en plus un soin tout particulier apporté aux choeurs.

    Deux titres étaient déjà connus des férus de ces drôles d'oizeaux:

    "Happy Soldier", la chanson titre, était apparue il y a plusieurs mois sur une compilation lancée par Zadig et Voltaire (Frédéric Lefebvre a sûrement dû l'écouter en boucle) : "This is Our Music".

    "West Coast" avait été offert en téléchargement par le groupe le 1er janvier, histoire de bien commencer l'année.

    "Psycho" et "I Do Love You" sont entièrement inédits et n'apparaîtront pas sur le futur album, contrairement aux deux premieres chansons.

     

  • The Dodoz

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    Ca y est, il a intégré ma discothèque, le premier album de The Dodoz, groupe dont je parlais dans ma précédente note.

    Onze titres d’un rock réjouissant et même carrément jouissif ! Les morceaux ont une structure particulière, aucun n’obéit au format couplet-refrain ; les changements de tempo, de mélodies sont fréquents dans une même chanson, sans que ça parte dans tout les sens. Impossible donc de se lasser.

    Le tout est très bien produit par Peter Murray, Clive Martin et Pierre Rougean pour une durée d’un peu plus de 35 minutes, ce qui peut paraître court si on compare avec la longueur moyenne d’un CD. Mais ici, il n’y rien à jeter.

    Le disque est disponible en format vinyl, ce qui est le nec plus ultra pour apprécier un album avec un son rock brut comme celui là.

    Jetez-y une paire d’oreilles sans hésiter, c’est du tout bon !

    http://www.myspace.com/thedodoz

     

  • The Dodoz - Le Florida, Agen, 23/10/09

    the-dodoz.jpg

    Photo: Moltisanti

    Mais où sont les agenais ? C’est la question qu’on pouvait se poser hier soir au Florida d’Agen. La salle était en effet aux trois quart vide, deux cents personnes en comptant large. Dommage pour les absents qui manquaient là un des concerts événements de l’année avec la venue des voisins toulousains The Dodoz.

     

    Deux groupes en première partie : tout d’abord les locaux de Eleven’s, mené par une jeune chanteuse qui ne doit pas avoir plus de seize ou dix-sept ans, tout comme les quatre musiciens qui l’accompagnent. Un « teenage band » qui joue du bon rock, des compos personnelles chantées en anglais. Quelques imperfections, mais l’envie de jouer est là, le public s’en est rendu compte et a apprécié. Prometteur :)

     

    Suivent les lyonnais de Music is not fun, quatuor cent pour cent masculin, manifestement très influencé par la pop british. Ca se voit : une cabine téléphonique typiquement anglaise en carton et deux gardes de Sa Majesté de la même matière décorent la scène avec un Union Jack, et surtout ça s’entend. Plaisant, mais sans plus.

     

    Enfin, le quatuor from the pink town, The Dodoz ! Le jeune groupe (moyenne d’âge des membres tout juste vingt ans) s’est forgé une belle réputation scénique, se faisant remarquer par rien de moins que Siouxsie (oui, oui, la vraie, celle qui chantait avec les Banshees) et par Pete Murray, producteur d’Outre-manche qui a signé le combo sur son label.

    The Dodoz, c’est du rock brut et énergique, évoquant aussi bien Franz Ferdinand, The Gossip, Editors, Blondie – c'était ma séquence name droping - avec deux guitares tenues par les bondissants Vincent et Jules, derrière la batterie on trouve Adrien, tandis que la basse c’est l’affaire de Géraldine qui chante également. Très bonne voix par ailleurs !

     

    Malgré un public très clairsemé et très sage –un des guitaristes encouragera les timides tassés au fond de la salle à se rapprocher de la scène, avec plus ou moins de succès- les Dodoz ont donné durant une heure un excellent concert, jouant leur rock impétueux à forte teneur en décibels ! Des morceaux comme « Werewolf in Love » ou « Bet » sont de véritables tueries !

    Titres que l’on retrouvera sur le premier album du groupe qui sort ce lundi ! Une chose est sûre, il fera partie de ma discothèque.

     

    Dommage donc que le public se soit aussi peu déplacé ce soir là, The Dodoz mérite vraiment d’être vu et entendu en live, et acclamé par des salles combles!

     

     

     

    http://www.myspace.com/thedodoz