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  • Vive les nanars intersidéraux !

    Rien de tel qu’un nanar de derrière les fagots pour bien rigoler ! Voici deux monuments incontournables.

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    " Flash Gordon" est un joyeux navet réalisé par un certain Mike Hodges, produit par Dino de laurentiis en 1980.

    C'est l'histoire de Flash Gordon, capitaine d'une équipe de football américain qui se retrouve embarqué malgré lui et en compagnie d'une jeune journaliste : Dale Arden, dans la capsule spatiale construite par le professeur Zarkov, lequel est persuadé que des envahisseurs veulent détruire la Terre !

    Et il a raison, le bougre. Les voici qui se retrouvent sur la planète Mongo où règne l'empereur Ming qui n'est pas commode ( ça c'est dans un autre film plein de gladiateurs ) !!!

    Evidemment Flash ruine les projets de Ming ( qui, en plus de ravager notre planète veux se marier avec Dale Arden qui est amoureuse de Flash ! ) en ayant au passage séduit la fille de l'empereur ( interprétée par Ornella Muti, joliment vêtue :-) ), et en ayant conclu une alliance avec les hommes des bois et les hommes-oiseaux da la planète voisine !!!!!

    Tout ça dans de splendides décors en provenance de la planète Polystyrène et sur une musique de Queen. N'oublions pas les dialogues superbes, par exemple le cultissime « Non, pas les vers perforants » ou encore « Flash, je vous aime mais nous n’avons que quatorze heures pour sauver la Terre. »

     

     

    Mais Flash Gordon n’est rien comparé à l’hallucinant  Turkish Star Wars. Attention ce film est du concentré de nanar, son visionnage peut entraîner un ébahissement hors norme.

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    Turkish Star Wars est un film turc sorti en 1982, « librement inspiré » du Star Wars d’origine. Tellement inspiré d’ailleurs que le réalisateur emprunte des extraits de  Star Wars ( surtout des scènes de bataille ) pour les mettre tranquillos dans son film !

    Et pour ne pas faire les choses à moitié,  Turkish Star Wars pique aussi de larges extraits de la BO des  Aventuriers de l’Arche Perdue , dont le thème le plus connu, et pioche également dans la bande son de  Flash Gordon , Galactica ou encore  Le Trou Noir !

    Sinon quelle est l’histoire de ce monument du 7eme art ? Eh bien il s’agit des aventures de deux guerriers turcs de l’espace, Murat et Ali, combattant l’infâme, mais désopilant, Magicien qui n’a qu’un seul but : détruire la Terre !

    Suite à un combat dans l’espace, ils s’écrasent dans un endroit inconnu et aussi très désertique. Cherchant à savoir où ils sont, les voilà gambadant parmi les rochers en sifflant joyeusement, ce qui fini par attirer des cavaliers affublés de costumes de squelettes que personne n’oserait porter pour Halloween. Il s’en suit une bagarre épique parfois filmée en accéléré où nos deux amis mettent une tannée aux cavaliers.

    Désormais à cheval, ils arrivent dans un endroit ressemblant étonnamment au plateau de Gizeh, pyramides et sphinx inclus. Là, vit un peuple d’humains troglodytes asservi par le Magicien.

    Et là Ali et Murat se font surprendre par les sbires du Magicien : des clones de Bobba Fett en fer blanc, qui font un bruit de caisse à outils en se déplaçant, commandés par un robot à la tête de poubelle renversée toute cabossée et surmontée d’un gyrophare. Après quelques échanges de gnons et un combat de gladiateur, nos héros s’enfuient et se réfugient chez une ravissante blonde qui passe sont temps à sourire à Murat.

    Il est temps de se reprendre en main pour nos deux amis. Ils décident alors de s’entraîner dur en tapant sur des rochers, en shootant dedans comme dans un ballon ce qui provoque l’explosion du rocher quand il heurte une paroi ( logique ! ) ou bien en courant et sautant comme un marsupilami avec deux blocs de pierre attachés aux chevilles ; et tout ça sur la célèbre musique d’ Indiana Jones ou bien le thème de Galactica en version disco !

    Ensuite nos guerriers affrontent des momies enrubannées dans du papier hygiénique, arrachent des têtes et des membres à de gros nounours en peluche rouges ou noirs qui émettent des sons proche du barrissement de l’éléphant ou évoquant de l’air passant dans un tuyau. Puis ils se mettent en quête d’une encombrante épée de bronze, laquelle sera indirectement à l’origine de la mort de Ali.

    Murat ayant alors grave les boules, il fait fondre l’épée et, plongeant ses mains dans le liquide obtenu, il se retrouve équipé d’une très seyante paire de gants en bronze.

    Avec ça, il court mettre l’ultime raclée aux diverses créatures croisées pendant le film, explose le gyrophare du robot à tronche de poubelle et coupe le Magicien en deux dans le sens de la longueur, grâce à une effet spécial imparable: une moitié de l’image montrant le Magicien mort est cachée ! La victoire de Murat est incontestable !

    Après ça, il dit au revoir à la blonde qui lui sourit tout le temps en promettant de revenir et rentre chez lui à bord du Millenium Falcon qui devait être garé dans le coin !

     

    Considéré à juste titre comme un nanar ultime par l’équipe du site nanarland, celle-ci a mis en ligne un mini site spécial pour le film, où il est possible de visionner des extraits de la chose ! Ne vous en privez surtout pas :)

     

  • Seuls dans l'univers?

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    A visiter absolument, le site de l’exposition qui se tient actuellement à la Cité des Sciences et de l’Industrie : « Seuls dans l’univers ? De la fiction à la réalité ».

    Vous serez accueilli par une ravissante aliennette bleue :-)

    Articulé autour de quatre axes ( Mondes extraterrestres, communications extraterrestres, sciences et extraterrestres, fiction et extraterrestres ), c’est une passionnante recherche de « l’autre »

     

  • Aujourd'hui c'est la Saint-Glinglin...

    …vu que c’est la Toussaint ! Bonne fête aux Glinglin, donc, en ce lendemain de Halloween.

    Au fait, qui a dit que Halloween était une fête sinistre ? Ce n’est pas ce que semble penser la jeune personne sur la photo !

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    Avec une bonne Salsa du démon de derrière les fagots entreposés au fond du cimetière qui jouxte le vieux manoir là-bas, on obtient la fête la plus fun de l’année :p

    Bon, pour en revenir à Glinglin, mes recherches pour découvrir l’origine de ce Saint invisible dans le calendrier m’ont amené à l’excellent site Francparler.com où sont dévoilées avec humour les origines de nombre d’expressions de notre langue.

    Entre « avoir un chat dans la gorge » ou « avoir le cul bordé de nouilles » vous n’aurez que l’embarras du choix !