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calamité

  • Renée, la taupe en toc

    Vous connaissez Renée la taupe ? Oui, forcément, vous n’avez pas pu échapper à cette calamité de bestiole virtuelle et flatulente que ses gaz ont propulsée en tête des ventes de singles.

    Cette taupe en toc a des effets néfastes bien réels, c’est une pollution majeure des esprits. Exemple concret : je suis en train de lire L’Elégance du hérisson de Muriel Barbery où le personnage principal est une concierge prénommée Renée et comparée allégoriquement à un hérisson.

    A cause de la coïncidence du prénom et d’un rapprochement entre mammifères habitués à fréquenter les jardins, l’image de la taupe chanteuse surgit régulièrement dans mon esprit alors que je suis en pleine lecture ! Une catastrophe sans précédent !

    Renée la Daube (de son vrai nom) est en fait un serial killer. Ses victimes : n’importe qui. Son modus operandi : se transforme en sonnerie de téléphone portable afin de toucher le plus de monde.

    La solution : faire appel à Dexter, le seul capable d’éliminer cet animal infernal. Qu’il le zigouille, le découpe en morceaux et les fasse disparaître dans le courant Main Stream de TF1.

    En plus d’être un pollueur et un serial killer, l’animal serait un voleur ! Renée la taupe est en effet accusée de plagiat (source).

    L’histoire risque de faire beaucoup de bruit (du genre grand vent certainement). Après Coldplay contre Joe Satriani et Cie (souvenez-vous), voici Renée la taupe contre un accordéoniste breton inconnu qui affirme avoir composé la musique du tube « taupesque » dix ans plus tôt pour les pensionnaires d’une maison de retraite.

    Si tel était le cas, Renée serait particulièrement vicieuse. En effet, il n’est pas insensé de penser que les résidents de la maison de retraite sont peut-être aujourd’hui disparus ou dans l’incapacité de se rappeler avoir entendu cette musique, et notre accordéoniste se retrouve seul pour prouver sa bonne foi. Sordide, non ?

    Quelle sale bête cette fausse taupe.