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Eh oui, j’ai eu moi aussi ma période Madonna ! En gros, de 1985 à 1987, la meilleure période selon moi.
J’ai une tendresse particulière pour ce clip qui présente un de mes titres préférés de l’album « Like a Virgin » en live, lors du Virgin Tour de 1985.
La madone pop des eighties, avec ses fanfreluches, bougeant dans ses tenues courtes et colorées qui piquent un peu les yeux aujourd’hui ; je la trouvais incroyablement sexy alors !
L’émission culte « Les Enfants du rock » avait diffusé le concert dont est tiré le clip, le magnétoscope avait tourné ce soir là. J’ai une pensée pour la VHS qui a servi de support, elle est depuis longtemps tombée au champ d’honneur après avoir subi tant d’avance et de retour rapide et de mise sur pause…
Tom « hématome » Cloudman, le plus mauvais cascadeur du monde et de la galaxie, ça pourrait être les paroles d’un générique d’une série tv pour un anti super héros qui serait à la fois l’antithèse de Batman et de Colt Seavers, l’homme qui tombe à pic.
Issu de l’imagination de Mathias Malzieu qui l’avaitdéjà mis en scène dans son dernier roman Métamorphose en bord de ciel,Cloudman a aussi servi d’éclaireur au nouvel album de Dionysos, mis en scène cette fois dans un clip qui m’évoque la scène surréaliste et poétique du bal masqué de Judex , film de Franju, en version rock’n’roll.
Dionysos vient nous voler joyeusement dans les plumes avec Bird’n’Roll, album à l’ambiance psychédélique imprégné de rockabillyrehaussé par de réjouissants chœurs féminins style 50’s. On y trouve aussi du ukulélé, du stylophone, de la scie musicale ou encore des chants d’oiseaux d’espèce non répertoriée dont on imagine le plumage kaléidoscopique.
Mathias Malzieu nous plonge avec ses textes dans son univers à lui, fantastique et farfelu ; certains titres sont comme des nouvelles mises en musique, de vrais petits bijoux à l’imagination débridée : La Sirène et le pygmalion, Le Grand cheval aux yeux gris, Le Retour de Jack l’inventeur …
Mention spéciale à Platini(s) qui fleure bon le tube irrésistible et à Spidergirl Blues avec sa guitare folk, interprété par Mathias en lonesome cowboy sous la lune ^^
Le 26 mars, le jour de la sortie de l’album, le groupe a donné un concert d’ores et déjà anthologique au Trianon à Paris, retransmis en direct sur le net, en guise d’apéritif à une nouvelle tournée tout d’abord de festival, puis en salles à l’automne. Dionysos sur scène, c’est à ne surtout pas louper !
The Big Hand est une chanson de The Cure qui figure en face b du single A Letter to Elise sorti en 1992.
Une courte version instrumentale apparaît en guise de générique de fin sur la VHS Picture Show parue, elle, en 1991. Et cette version instrumentale, jamais réalisée sur disque, m’a toujours donné davantage la chair de poule que la version chantée.
Il y a plusieurs années, j’avais pêché sur le net la version instrumentale dans son intégralité (elle se trouve facilement ;)) et en 2008 je m’étais amusé à la poster sur YouTube avec une vidéo faite de photos.
Mais voilà, cette version instrumentale intégrale est en fait l’œuvre d’un fan inconnu qui a mis en boucle la musique entendue à la fin de Picture Show. C’est du bon boulot, on ne remarque quasiment rien. Il faut vraiment écouter avec attention pour se rendre compte d’un mixage un peu abrupt à 1min40s, 3min01 et 4min23, comme le signale quelqu’un dans les commentaires sur YouTube.
Autre chose inhabituelle : le fade out à la fin. La quasi-totalité des morceaux du groupe se terminent en effet sur la note.
Aucune chance donc de voir figurer cette version de The Big Handsur la prochaine réédition Deluxe de l’album Wish… Mais peut-être que Robert Smith a une version instrumentale complète totalement inédite dans ses tiroirs…
On peut dire qu’il se sera fait attendre ce nouvel album, quatre ans après l’enthousiasmant We Started Nothing truffé de tubes abondamment recyclés dans des pubs. Mais au moins le duo mixte britannique est toujours là 4 ans après, déjouant les pronostics de ceux qui voyaient en lui un simple phénomène de mode qui serait vite désintégré dans l’atmosphère des phénomènes hype, tel un débris spatial dans la stratosphère.
S’il n‘y a pas de surprises avec ce nouvel album, on peut franchement l’écouter avec autant d’enthousiasme que le précédent. Tout aussi éclectique, il contient également son lot de tubes imparables (Hang it up, l’actuel single, Give it Back, futur single obligatoire, Day to Day, Soul Killing et sa rythmique ska…), mélanges de rock et de synth pop avec une production bien léchée.
On aurait grandement tort de snober cet album.
Le groupe propose aussi une version Deluxe avec des titres supplémentaires. Des remixes essentiellement, dont pas moins de 4 de Hang it up, largement dispensables. On trouve également le titre Hands sorti en single en 2010 et un inédit, Ain’t got Shit.
Pas vraiment indispensable, cette version Deluxe est à laisser aux gros fans du groupe.
S’il y a une chose indispensable à faire en revanche, c’est d’aller voir The Ting Tings sur scène…