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  • Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal

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    Attention, cette note contient quelques spoilers sur le film !

    J'avoue que j'ai du mal à comprendre les critiques assassines que j'ai lu par ci par là, que ça soit de la part des professionnels de la profession (j'adore cette expression à la noix :p) ou des critiques du dimanche.

    Certains parlant même d’un ratage à la « Menace Fantôme » ! Faut pas pousser mamie (momie ?) dans les orties (infestés de scorpions et d’araignées) ! Comme quoi, il vaut mieux ne pas écouter les critiques :p


    Car pour ma part, j'ai beaucoup aimé ce quatrième volet, même s'il n'est pas aussi flamboyant que les trois premiers il est vrai.Ce n'est pas un chef d'oeuvre, ce n'en est pas pour autant un effroyable navet ! On est à des années lumière de "Tomb Raider", Dieu merci !

    J'ai été emballé par ce film, par sa réalisation, Spielberg sait faire bouger sa caméra dans les scènes d’actions, sans la prendre pour un ballon de rugby qu’il lancerait à ses assistants réalisateurs avant de la récupérer pour tenter un drop ( à la façon du trop frénétique Michael Bay par exemple :p)

    Il y a des plans qui vont longtemps rester marqués dans ma mémoire, comme Indiana devant le champignon atomique, ou quand le vaisseau alien s’arrache de terre, la silhouette du héros dans un coin de l’écran: une image tout droit sortie d’une BD, (j’ai alors pensé à la fin de « l’Enigme de l’Atlantide » de Blake et Mortimer)

    Les effets spéciaux numériques n’envahissent pas l’écran et sont utilisés à bon escient. Mention spéciale pour les fourmis rouges ! Excellente scène qui renvoie aux bestioles mutantes des films SF des années 50 :-)

    J’ai bien aimé les références, essentiellement au ciné SF et fantastique, qui sont semées tout le long du film (c'est bien de repérer les références, ça donne l'impression au spectateur d'être bien cultivé :p) La très bonne scène d’ouverture rend en outre hommage à "American Graffiti" de Tonton George où jouait déjà Harrison Ford :-)
    Harrison Ford qui s'en tire à merveille, malgré son "grand âge" ;) Revoir Karen Allen dans le rôle de Marion fut un vrai plaisir, quant à Shia LaBeouf il s’en sort plus que bien.

    Les méchants de l’histoire manquent cependant un poil de charisme, ils sont loin de rivaliser avec les inoubliables Belloq ou Mola Ram.

    Indiana Jones malgré ses cheveux blancs, ne vieillit pas, ou moins en tout cas que certains spectateurs qui semblent blasés^^

    Ce quatrième volet arrive très tard dans la saga il est vrai, mais l’esprit est toujours là. L’aventure à toujours un nom !

    Indiana Jones, c’est toujours du cinéma, du vrai, de celui qui illustre parfaitement l’expression « c’est du cinéma » pour bien dire que ça ne correspond pas à la réalité, mais à un ailleurs ou le héros sort toujours indemne des chutes les plus vertigineuses, ne prend jamais une balle, ne perd jamais son chapeau. Un ailleurs pas si lointain, très proche même, aux couleurs de l’enfance. Indy est toujours là pour nous y emmener, avec son fouet pour nous protéger. On peut même s’imaginer qu’on est Indiana Jones. Ca marche toujours…

  • The Cure - The only one

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    Ca y est, j’ai le nouveau single de The Cure : « The only one » :-))

    Premier d’une série de quatre singles qui sortiront le 13 de chaque mois ( du moins s'il n'y a pas de nouveaux problèmes de pressage qui ont retardé la sortie de celui-ci dans quelques pays ) avant l'arrivée du nouvel album, le 13 septembre.

    Robert Smith et son groupe semblent s’amuser avec les nombres en ce moment, plus précisément le 13 et le 4. L’album à venir sera le treizième de la carrière de the Cure qui compte actuellement quatre membres.

     

    Le nouveau titre est à classer dans le coté pop rock du répertoire du groupe. On reconnaît immédiatement la patte The Cure ; pas de surprise donc. Même s’il n’a pas la force d’un « Just like heaven » ou d’un « Friday i’m in love », « The only one » réjouit parfaitement son auditeur. Et au bout de plusieurs écoutes, il finit par provoquer sa petite addiction :p

    Le second titre du single « NY Trip » est beaucoup moins pop rock, plus tendu, avec une très bonne ligne de basse ( ce qui est un pléonasme concernant les Cure, c’est vrai :p ) et devrait ravir ceux qui préfèrent le côté plus sombre du groupe.

    Ce single fait un excellent apéritif ! Il ouvre l’appétit pour des nouveautés de Cure juste ce qu’il faut !

     

    La vidéo de « the only one » quant à elle n’a rien d’extraordinaire. On est vraiment loin des clips réalisés par Tim Pope.

     

    Note précédente sur The Cure :  The Cure - Les contrastes fascinants