La diffusion de Lost s’est achevée le week-end dernier aux Etats-Unis, et je m’aperçois que je n’ai jamais parlé de la série sur le blog, alors qu’il s’agit d’une de mes préférées, le comble.

Contrairement à Heroes par exemple (dont j’avais parlé, cherchez pas la logique) qui s’est cassé la figure dès la deuxième saison, Lost ne m’a jamais déçu.

Evidemment, il y a des déçus, ceux dont les théories se sont révélées fausses par exemples ;) mais il fallait s’y attendre, d’autant que tout n’est pas totalement expliqué. Mais c’est bien qu’il reste une part de mystère, que des questions restent en suspens, un peu comme dans X-Files ^^

Au moins Lost a eu une véritable conclusion, comme X-Files en aurait mérité.

En tout cas, Lost rejoint le Panthéon pas du tout décousu de mes séries fétiches où trônent déjà X-Files donc, Twin Peaks, MillenniuM, Harsh Realm, Twilight Zone et Doctor Who version années 2000 dont je n’ai pas encore vu les épisodes de la nouvelle saison, avec le nouveau Docteur donc *suspens*

Et en 8 minutes 15 (notez les nombres) un résumé cool des 5 premières saisons de Lost (en vo)

Cette année, pour les fans de The Cure, Noël tombera le 24 mai, puisque c’est ce jour là que sortira enfin l’édition Deluxe de Disintegration, le meilleur album jamais publié comme chacun le sait ^^

21 ans après l’original, le disque sort donc accompagné d’un deuxième CD rempli de démos ou de titres inédits, plus un troisième qui n’est autre que le live Entreat de 1990 augmenté de quatre morceaux, offrant dorénavant les 12 titres de Disintegration en live, enregistrés à Wembley en juillet 1989.

Et ce n’est pas fini, puisque un site a été mis en ligne pour l’occasion :

http://thecuredisintegration.com/bin/

On y trouve notamment pas moins de 20 titres supplémentaires (démos, titres inédits et live) de derrière les fagots qui ne figurent pas sur le cd numéro 2 de l’édition Deluxe.

On peut même les télécharger pour zéro euro ici. La vie est belle !

J’avais parlé il y a quelques mois de The Bastard Fairies (voir la note). Eh bien, le réjouissant duo américain est de retour, avec un single savoureusement intitulé Dirty Sexy Kill Kill, tout un programme !

Fidèle à lui-même, le groupe propose ce titre en téléchargement gratuit depuis son site à cette adresse :

http://thebastardfairies.bandcamp.com/track/dirty-sexy-kill-kill

Vous êtes libre de payer si vous voulez, n’est-ce pas cool ?

Et pour accompagner le tout, une vidéo joyeusement déjantée.

Je viens de trouver un nouveau moyen de bander l’arc formidable de mes activités !^^

En effet je viens d’y rajouter une corde, et pas n’importe laquelle, puisque me voici producteur de film ! Le collègue de Spielberg, Carpenter, Cameron et même Besson, oui, la réalisation d’un fantasme !

Bon, toutes proportions gardées évidemment...

Car grâce au net et surtout à touscoprod.com il est possible à tout un chacun à partir de 10 euros d’investir dans un film.

En ce qui me concerne, il s’agit plus d’un soutien militant que d’un investissement financier. Le film que j’ai décidé de soutenir est « L’œil de l’astronome » de Stan Neumann.

Kézako ? En voici le pitch, comme dirait l’ami Ardisson en regardant sa fiche :

« Eté 1610. Un des premiers télescopes inventés par Galilée arrive enfin à Prague. Jean Kepler, astronome de l’empereur Rodolphe II, aura dix nuits, pas une de plus, pour découvrir dans le ciel des choses que personne n’y a jamais vu et explorer les mystères de la nouvelle invention. Dix nuits d’urgence, de fatigue et de fête astronomique, de disputes et de complots contre l’Empereur.
Dix nuits où l’astronomie bascule dans la capitale d’un empire qui vacille. »

Un film parlant d’un astronome de génie, Johannes Kepler (j’ignore pourquoi son prénom est francisé dans le pitch officiel), c’est à peu près aussi rare que la vie dans l’univers d’après les connaissances actuelles, voilà pourquoi dès que j’ai eu vent du projet (dans le dernier numéro de Ciel et Espace) et de la possibilité d’y apporter une modeste contribution, je n’ai pas hésité.

Rectification concernant le pitch : il ne s’agit pas d’un télescope mais d’une lunette astronomique que Galilée a « inventée », ce n’est pas le même système d’optique.

Le tournage du film s’est déroulé au début de l’année, avec Denis Lavant dans le rôle de Kepler. Sa sortie en salles est prévue pour début 2011. D’ici là, j’en reparlerai, foi de producteur ;)