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Mes dégouts - Page 3

  • Pas "vive le vent d'hiver"

    Samedi matin mon antenne de télévision s’est séparée de ma cheminée. La rupture a été brutale, inattendue. Ca faisait des décennies pourtant qu’elles filaient le parfait amour toutes les deux, enlacées ensemble au sommet du toit. Et là, paf ! Il a suffit que le vent s’en mêle et l’antenne s’est fait la malle avec lui ; quelle s….. !

    Mais le vent l’a laissée tomber aussi sec, la laissant toute tordue sur le toit. R.I.P.

    Je pense pouvoir la recycler en œuvre d’art moderne en l’exposant dans mon jardin, quand j’aurais enlevé les branches cassées et les étranges météores en plastique ou en polystyrène qui s’y sont crashés.

    Vive le vent d’hiver !

    Et les arbres, qu’est ce qu’ils ont ces arbres à tomber malade avant de tomber sur les routes, les voitures ou les lignes électriques à la moindre tempête ? Ils manquent singulièrement de solidité ces végétaux, ça vient d’où ce défaut ?

    Et c’est bien connu, un arbre ça craint : on dit toujours des platanes au bord des routes qu’ils sont dangereux, on ne dit jamais ça du véhicule qu’on conduit.

    Et franchement, à part fournir de l’oxygène, de l’ombre et de la fraicheur, un habitat pour différentes espèces, des fruits, du bois… à quoi ça sert un arbre ?

    "Faut tous les couper moi je vous dis m’sieur ! Une voiture au moins ça roule et c’est plus facile à reconnaître comme marque, on sait si c’est étranger ou pas. Alors qu’un arbre…"

    A part ça, la Terre continue de tourner, son axe de rotation n’a pas basculé, et demain faut aller bosser, donc tout va bien…

     

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  • Nuit Blanche et gerbe lumineuse

    Ce week-end se déroulait à Paris la 7eme édition des fameuses Nuits Blanches. Très prisée du public et saluée par la presse, la manifestation de cette année s’est remarquablement illustrée en matière de pollution lumineuse avec notamment la colonne de lumière commise par l’artiste japonais Ryoji Ikeda devant la tour Montparnasse, et visible à quarante kilomètres de la capitale. Lire à ce sujet l’article de Jean-Luc Dauvergne sur le site de Ciel et Espace.

     

    Selon cette dépêche AFP, l’illumination de la tour était sensée faire réfléchir sur le débat actuel concernant les immeubles de grandes hauteurs. "On a mal construit dans les années 70 et au mauvais endroit. Tentons de bien construire au bon endroit pour les années à venir", commentait Christophe Girard (maire adjoint chargé de la Culture.)

    Quel dommage que cette illumination ne soit pas sensée faire réfléchir sur un autre débat on ne peut plus actuel : la pollution lumineuse. L’occasion était pourtant belle. « Tentons de bien éclairer au bon endroit pour les années à venir » par exemple. Manifestement c’est le cadet des soucis de la Mairie de Paris (et d’autres malheureusement), et cela montre qu’il y a encore du boulot à faire pour sensibiliser les élus et le grand public sur le sujet.

    Voir aussi ma note précédente.

  • Ile immonde et continent blanc

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    http://rue89.com/2008/02/02/une-mysterieuse-ile-de-dechets-dans-le-pacifique

     

    Merci à Jill de m’avoir donné le lien très intéressant ci-dessus :-))

    J’en ajoute deux autres où il est question de la même chose.

     

    http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1471.php

     

    http://ecosac.info/spip.php?article121

     

    La chose en question étant une « île » constituée de déchets en tout genre issus de notre merveilleuse société de consommation et dont j’ignorais l’existence ( de l’île, pas de la société de consommation :p )

    Du plastique et des ordures à gogo piégés par des courants marins et s’agglomérant plus ou moins sur des km².

    Il y a quelque chose de fascinant dans cette histoire d’île épouvantaffreuse dont aucun pays ne souhaite évidemment revendiquer l’appartenance ( contrairement aux fonds marins de l’Arctique qui sont tout propres et pleins de pétrole et de gaz ).

    Cette histoire d’ « île » donc, voire de « continent » selon certains articles, semble particulièrement horrifier, scandaliser, elle provoque des réactions épidermiques. Et le plus intéressant est le doute qu’elle fait naître. Les sceptiques s’étonnent qu’il n’existe pas de photos de la chose, réclamant une preuve par l’image. Ah, le sacro saint pouvoir de l’image !

    Qu’on soit sceptique en ce qui concerne l’existence du monstre du Loch Ness ou celle des soucoupes volantes, je veux bien. Mais cette histoire d’île n’a, en fin de compte, rien d’extraordinaire, c’est juste une concentration en plein océan de la merde bien réelle semée par les Hommes sur toute la planète. Y’a pas photo !

    Si on rassemblait toutes les saloperies éparpillées dans les océans, il en émergerait certainement un joli continent d’immondices.

     

    Pour désigner le grand machin tout pourri flottant, le terme d’île semble poser problème. Il nous fait imaginer une masse de matière bien compacte, aux contours bien définis ( penser à un palmier en fil de fer et polystyrène planté au milieu serait quand même audacieux ), or ce grand machin flottant n’a pas de rivages ni de terre ferme, il manque de consistance. Il faudrait lui donner un nom, pour lui donner plus de corps.

     

    Pour contrebalancer, voici un site qui, lui, propose des photos, mais de l’endroit certainement le moins pollué du globe, un continent entier, l’Antarctique.

    Il s’agit, avec une résolution de 15 mètres, des images les plus précises de l’Antarctique réalisées par un satellite ( Landsat 7 )

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  • Mes chansons détestées, suite et fin

    On n'est jamais trop prudent ;-) 

     

    6 - Un homme, une femme par Pierre Barouch et Nicole Croisille. Le fameux « chabadabada chabadabada » qui n’est hélas pas une formule magique pour faire disparaître cette chanson à tout jamais. Juste un refrain abominable !

    7- Concerto pour une voix de Saint-Preux. La voix en question me mets systématiquement les nerfs en pelote. Et la nouvelle génération mets les bouchées doubles, puisque la fille du compositeur, Clémence, à repris la chose avec un comparse ! C’est devenu « Concerto pour deux voix » ! Parfois je me dit que l’enfer doit ressembler à ça : ce titre de Saint-Preux mis en boucle.

    8- Voyage en Italie par Lilicub. Une chanson nuisible pour le tourisme italien. Deux voix, masculine et féminine ( sûrement des alliés des Saint-Preux ), nous infligent cette rengaine indigeste.

    9- A bicyclette par Yves Montand. Malheureusement il s’agit d’une chanson increvable. J’ai longtemps boycotté le vélo à cause de cette chanson !

    10- L’éducation sentimentale de Maxime Leforestier. Un traumatisme scolaire. Un morceau qui déjà à la base tape bien sur les nerfs imposé en classe, et voilà le résultat : dégoûté !