Millënium Navis - Page 4
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Veronica Falls - Nobody There/Need You Around
Il est temps de remettre le Millenium Navis à flot...
Et on repart avec Veronica Falls .
Alors que le quatuor vient de sortir "Broken Toy" en single, troisième extrait de l'album "Waiting for Something to Happen", voilà qu'il nous offre deux titres inédits: "Nobody There" et "Need You Around", qui scintillent comme deux étoiles pop rock.
Les chansons couvriront les deux faces d'une galette vinyle, un bon vieux 45 tours pressé à seulement 300 exemplaires, à commander sur le site officiel de Veronica Falls. L'objet sera expédié à partir du 9 décembre.
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Les nuits des étoiles 2013
Les Nuits des étoiles 2013 auront lieu les 9, 10 et 11 août 2013. Partout en France et dans plusieurs pays d’Europe et d'Afrique, des centaines de sites vous accueilleront à nouveau pour contempler la voûte céleste. Les organisateurs s’attachent à renouveler chaque année une manifestation gratuite, ouverte à tous, dans l’esprit d’un partage des connaissances et d’une découverte du ciel pour tous. Rendez-vous sur le site d’observation le plus proche de chez vous.
Pour en savoir plus rendez vous sur le site de l'AFA -
Iggy and The Stooges - Garorock, Marmande, 30/06/2013
Y’a pas à dire, le concert d’Iggy and the Stooges ce dimanche au festival Garorock à Marmande était une tuerie.
L’Iguane au bord de la Garonne, en pleine campagne lot et garonnaise, au milieu des peupliers, a tout déchiré, y compris mes oreilles ! Le son était trop fort (un Airbus serait passé en rase motte, je ne l’aurais pas entendu) mais la setlist était de rêve. Elle a démarré par « Raw Power » pour se conclure par « Your Pretty Face is Going to Hell », faisant la part belle aux trois premiers albums légendaires des Stooges, et du petit dernier « Ready to Die », tandis que « The Weirdness » était soigneusement oublié. « Kill City » était aussi représenté ainsi que « Lust for Life » avec l’immortel « The Passenger ».
Une heure et quart de rock brut, à fond les gamelles, sous un soleil de plomb cependant moins chaleureux que le public, où Iggy Pop, fidèle à sa légende de bête de scène, a assuré le spectacle, gesticulant, s’aspergeant de flotte, jouant avec le public et invitant une dizaine de personnes sur la scène à se trémousser sur « Fun House » (parmi elles, une brunette dont la généreuse poitrine démontrait une bouleversante capacité de rebond^^).
Mike Watt, le bassiste, a tenté, à un moment donné, une sorte de saillie avec sa basse en la coinçant contre l’ampli, mais elle n’avait pas l’air d’accord :p
James Williamson balançait des riffs meurtriers tout en restant flegmatique, Steve MacKay était loin d’être à bout de souffle avec son saxo, tandis que derrière les fûts, Toby Dammit n’était pas en reste.
Assister à un concert d’Iggy and the Stooges c’est un peu comme avaler de l’extrait de piment Naga Viper : les sens sollicités ont besoin d’un peu de temps pour s’en remettre, tout paraît ensuite sans saveur pendant un petit moment. Aussi, je me suis abstenu de la pop sucrée de Mika qui succédait à Iggy et ses complices sur scène^^
Heureusement, Lilly Wood and the Prick (dont j’avais beaucoup aimé le premier album, un peu moins le second) étaient passés plus tôt dans l’après-midi, ce qui m’a permis d’apprécier leur très bonne prestation. Le reggae man italien Alborosie, avec ses dreadlocks impressionnantes était sympathique, mais la révélation fut The Excitements, formation de rythm and blues/soul venue d’Espagne dont la chanteuse évoque irrésistiblement Tina Turner époque Ike and Tina. Un régal !
Vidéo de bonne qualité trouvée sur youtube: I Wanna be Your Dog et No Fun.
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Richard Matheson
Un an après Ray Bradbury, c’est un autre grand de la science-fiction qui nous quitte, en fait un grand écrivain tout court.
Avec des romans comme « Je suis une légende », « L’Homme qui rétrécit » ou « Le Jeune homme, la mort et le temps », ainsi qu’une ribambelle de nouvelles, domaine où il était un maître et dont je raffole (lire l’intégrale (ou presque) en trois tomes chez J’ai Lu).
Egalement scénariste, on luit doit des histoires pour « La Quatrième dimension » ou le « Star Trek » originel, ainsi que le scénario du premier long métrage de Steven Spielberg, le génial « Duel », basé sur une de ses propres nouvelles.
Entre autre.
Je me souviens aussi de l’adaptation des « Chroniques martiennes » en mini série au début des 80s, même si l’association avec Bradbury n’avait pas été à la hauteur des attentes.
J’avais écrit des billets sur les trois romans cités plus haut :
- Je suis une légende
- Le Jeune homme, la mort et le temps
- L'Homme qui rétrécit